Hors pratique du sylvo-pastoralisme, les zones où pâturent les bêtes sont généralement des milieux ouverts, c’est-à-dire peu embroussaillés et avec peu d’arbres. Ces milieux ouverts ont une biodiversité spécifique : des oiseaux, des papillons comme la Proserpine ou encore le Criquet hérisson. Mais naturellement les arbres poussent, les zones de pâturage s’embroussaillent. Cette tendance fait que les espèces spécifiques disparaissent de ces milieux. Le pâturage aide à maintenir les milieux ouverts mais parfois une intervention humaine est nécessaire car la « dent de la bête » ne suffit plus.